Augmentation mammaire Tunisie

Augmentation mammaire en Tunisie : l’intervention chirurgicale qui change votre vie

Avoir une petite poitrine n’est certainement pas une sensation des plus agréables. En plus du fait que c’est gênant voire même déprimant de ne pouvoir porter fièrement des jolies décolletés qui mettent en valeur sa poitrine, toute femme avec de petits seins connait forcément le calvaire d’avoir à rembourrer son soutien-gorge afin d’avoir au moins une taille de plus ou même un soupçon de volume. Néanmoins le recours au bistouri pour agrandir sa poitrine, n’est pas toujours abordable.

Si vous n’en pouvez plus de vos petits seins semblables à des cerises que vous camouflez à longueur de journée en portant des habits amples et que vous trouvez inadaptés à votre morphologie, seule une augmentation mammaire en Tunisie peut vous convenir. Proposée à un tarif des plus attrayants, cette intervention changera radicalement votre vie ! Dites adieu aux soutien-gorge rembourrés et retrouvez des seins aussi harmonieux et fermes, semblables à celles des stars hollywoodiennes.

 

 

Prix d’une augmentation mammaire Tunisie par pose d’implants

De loin le moyen le plus fiable pour augmenter le volume de ses seins, les prothèses mammaires sont sans doute la technique la plus utilisée depuis des années pour avoir une poitrine plus volumineuse. Considérée comme une technique indétrônable pour avoir enfin de beaux seins, la pose d’implants mammaire en Tunisie est la solution qu’il vous faut, si vous souhaitez être belle sans vous ruiner. En effet, agrandir le volume de ses seins est une intervention chirurgicale qui vous est proposée à seulement 2200€ en forfait tout inclus. Vous avez également la possibilité de combiner cette intervention à un lifting des seins pour un résultat encore plus optimal. Le prix total de votre augmentation mammaire par implant ne dépassera pas les 2500€ et ce, pour l’ensemble de votre voyage chirurgical.

Tout savoir sur l’implant mammaire

Une prothèse mammaire est composée d’une enveloppe de silicone à la fois souple et résistante. Pour assurer un meilleur maintien du sein et lui conférer un volume naturel et harmonieux, la dernière génération de prothèses mammaires est remplie avec du gel de silicone cohésif. Selon le volume, le galbe et le bombé souhaités par les patientes, les prothèses mammaires se déclinent en plusieurs tailles et formes. Pour que les prothèses mammaires puissent suivre les mouvements spontanés du corps, elles sont conçues dans des enveloppes de silicone lisses ou rugueuses.

Quelle position pour les prothèses mammaires ?

Le placement des prothèses mammaires dépend de la forme du thorax, de la qualité de la peau et de la quantité de glande mammaire déjà présente dans les seins. Chez les patientes ayant assez de peau et de glande mammaire, le chirurgien esthétique optera pour la position pré-pectorale (devant le muscle grand pectoral). Chez les patientes minces, dont la peau des seins est plus fine et la glande mammaire moins importante, le chirurgien esthétique privilégiera la position rétro-musculaire (derrière le muscle grand pectoral).

Process de cicatrisation suite la pose d’implants mammaire ?

Les prothèses mammaires sont insérées dans les seins à l’aide de fines incisions de 3 à 4 centimètres. Selon le volume recherché, le chirurgien esthétique pratique les incisions dans le creux des aisselles (voie axillaire), autour de l’aréole qui correspond à la partie foncée entourant le mamelon (voie sous-aréolaire) ou sous le sillon sous mammaire (voie sous mammaire). Les cicatrices d’une augmentation mammaire sont très discrètes.

Quels sont les liquides de remplissage utilisés?

La dernière génération de prothèses mammaires est remplie avec du gel de silicone cohésif. Grâce à sa consistance plus épaisse, le gel de silicone cohésif reproduit la forme du sein et crée des volumes en totale harmonie avec le reste de la silhouette.

À quel âge peut-on poser un implant mammaire?

Il est préférable d’attendre que le développement des seins soit arrivé à maturité, ce qui est le cas dès l’âge de 18 ans.

Comment choisir les bonnes tailles et formes :

Le choix de la taille et de la forme des prothèses mammaires dépend de l’effet recherché et de la morphologie d’origine du sein. Des prothèses mammaires rondes ou anatomiques offrant un bombé modéré conviendront bien aux femmes dont les seins sont en forme de poire. Les prothèses mammaires rondes à forte projection permettront aux patientes d’obtenir le décollé pigeonnant de leur rêve. L’ajout de prothèses mammaires rondes ou anatomiques à faible projection associé à une opération de lifting mammaire permettra de retendre la peau des seins affaissés et favorisera le repositionnement des mamelons. Pour obtenir un volume en totale harmonie avec les courbes de la silhouette, il est primordial de solliciter l’avis du chirurgien esthétique et de suivre ses recommandations esthétiques.

Augmentation mammaire par implants : est-ce douloureux ?

Les prothèses mammaires placées derrière le muscle grand pectoral produisent des douleurs plus intenses au niveau du thorax. Ces dernières sont atténuées par des antalgiques simples et des antidouleurs pris matin, midi et soir. Trois jours plus tard, la douleur s’apparente davantage à une tension limitant certains gestes de la vie courante comme le port de charges lourdes, les mouvements trop amples, etc. Passés huit jours, la plupart des gestes seront raisonnablement possibles. Les prothèses mammaires placées devant le muscle grand pectoral génèrent moins de douleurs.

Point sur les avantages et inconvénients des deux positions

Si la position rétro-pectorale a l’avantage de créer des volumes mammaires mieux contrôlés et évite le déplacement de la prothèse mammaire lors de la contraction du muscle, son plus grand inconvénient tient au fait qu’elle complique la lecture des mammographies. Chez les femmes minces, la position rétro-pectorale rend aussi les contours de la prothèse mammaire plus visibles et perceptibles au toucher.
Si la position rétro-glandulaire offre l’avantage de mieux dissimuler les contours de la prothèse, de limiter le risque de coque mammaire et de faciliter la lecture des mammographies, son plus grand inconvénient tient au fait qu’elle déforme le sein lors des contractions du muscle et aggrave le risque de déplacement de l’implant mammaire, ce qui a tendance à creuser la distance entre les deux seins.

Quel est le rendu final d’une augmentation mammaire par implants ?

Après l’augmentation mammaire, les seins sont gonflés, fermes, douloureux au toucher et très peu mobiles, ce qui leur confère un aspect peu naturel. Après un mois, ils s’assouplissent, deviennent plus mobiles et commencent à dégonfler. Ils acquièrent leur aspect définitif au bout d’un an. A noter que les prothèses mammaires remplies de gel de silicone produisent un toucher proche de celui de la peau.

Est-ce que les implants en silicone représentent des dangers ?

Grâce à sa texture plus épaisse et compacte, le gel de silicone reste confiné à l’intérieur de l’enveloppe de silicone. En cas de rupture, le liquide ne s’écoule donc pas dans l’organisme, ce qui facilite le retrait de la prothèse mammaire. L’avantage du gel de silicone cohésif tient aussi au fait qu’il ne gêne pas la lecture des examens radiologiques.

Prothèses mammaires et durée de vie

Selon des études menées, il apparaît que le risque d’usure des implants  mammaires est de 1% durant les 10 premières années et de 10 à 30% après 10 ans. Seuls des examens radiologiques (échographie et mammographie) permettront au chirurgien esthétique d’évaluer l’état des prothèses mammaires.

Augmentation mammaire en Tunisie : les suites de l’intervention

Sachant que tout acte chirurgical est à risque, il est important de bien informer votre chirurgien et médecin anesthésiste de vos antécédents médicaux.  Ces derniers sont étroitement liés à votre état de santé. Les complications qui résultent de toute intervention de chirurgie mammaire sont en général prises en compte grâce au bilan préopératoire préalablement demandé.

Majoritairement, les risques d’une augmentation mammaire en Tunisie sont quasi-minimes, vu la performance des plateaux opératoires, les précautions mises en place et les techniques chirurgicales utilisées.